Un air vivifiant, une odeur iodée, des cris de mouettes, le vent sur mon visage, et c'est le choc: je suis face à l'océan ! Je prends une profonde inspiration, rien ne m'exalte plus que
ma rencontre avec cette étendue sans cesse en mouvement, de vagues déferlantes ou simples clapotis, toujours changeante.
En ce premier décembre (2016), il gèle un peu, seul persiste un mince filet d'eau dans le bassin, le merle ne s'y trompe pas, il se pose sans crainte sur la surface figée.